Notre album photos, au gré des répétitions ou des sorties ...
A Matignon
Chapelle Saint-Pabu à Erquy
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Bien entendu, nous nous déplaçons pour animer diverses festivités.
Si vous souhaitez nous contacter, appelez Camille, notre président.
Tel : 02 96 41 55 67
e-mail : camille.dubois@sfr.fr
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Le fou de Bassan (paroles)
Le Grand Coureur (paroles et musique)
Ils sont partis (paroles)
Entendez-vous la mer?(paroles et musique)
Les filles de Bordeaux
Le clocher de Saint-Malo (Paroles)
Brave marin (paroles et vidéo)
La paimpolaise (paroles)
Les gars de la marine
Sur la route de San-Francisco
A Lorient est arrivé (paroles)
Les roses d'Ouessant (paroles et vidéo)
Au café du port (paroles)
Chantons pour passer le temps
Le temps des Gabiers ( paroles)
Les coques en bois (paroles et vidéo)
Allez les marins
Fanny de Lanninon
Les trois caps
Loguivy de la mer (paroles)
Les vieilles carènes
Brasson bien, partout carré
La mer, toujours la mer
Le bidon
La Carméline
Le forban
Adieu cher camarade (paroles)
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Situé à une trentaine de kilomètres à l'Ouest de Saint-Malo, le Cap Frehel est un monument incontournable de la région du Penthièvre.
Mais d'autres coins sont également magnifiques ... Le petit port d'Erquy ( en photo sur l'entête du blog ) et son cap, Fort Lalatte, Le port de Saint-Cast, le château du Guildo ... A visiter impérativement ...
Quelques vues de notre petit coin de paradis ...
Un petit clin d'oeil en passant, à nos amis du Cercle de Danse de Frehel
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Le Bagad Salicornes de Saint-Cast le Guildo
Fort de ses 25 musiciens, le bagad Salicornes intervient pour toutes prestations, partout en France. Une fête, un mariage, appelez-les. Ils viendront animer votre journée ou votre soirée;
Page Facebook : https://www.facebook.com/Bagad-Salicornes-saint-Cast-Le-guildo-828031517314874/?fref=ts
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Le cercle de danse celtique " En avant-deux" de Frehel
La danse bretonne traditionnelle, en costumes.
Voir leur site : http://www.cercle-en-avant-deux-de-frehel.com/
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Un lundi sur deux, nous répétons dans la salle des fêtes de Plévenon. Chanteurs et musiciens sont assidus, la bonne ambiance est de mise.
Jeannette, notre chef de choeur, mène son petit monde à la baguette ...
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Notre chorale compte aujourd'hui une trentaine de chanteurs et chanteuses, sans oublier Jeannette, notre chef de choeur.
Nous sommes accompagnés par deux accordéonistes et une flûte traversière.
Les Fous de Bassan sont régulièrement appelés pour animer des festivités locales. Leurs prestations connaissent généralement un franc succès.
Le 1er juillet 2011 , Matignon, petite commune des Côtes d'Armor, célébrait le mariage du prince Albert de Monaco avec Charlène Wittstock. La ville était pavoisée de pavillons rouge et blancs. Une fête avait été organisée sur la place, animée par les danseurs costumés et les chants marins.
A l'heure pile du "oui" des époux princiers, les cloches de l'église sonnèrent.
Ce jour-là, il y avait foule pour applaudir nos chanteurs.
Un peu d'histoire :
Des plus anciennes et des plus illustres de Bretagne, la maison de Goyon possédait de tout temps la ville de Matignon (Côtes-d'Armor) et le château de la Roche-Gouyon. Il est très difficile de décider si les seigneurs qui en sont sortis, ont donné leur nom à la ville qui le porte, ou s'ils lui ont emprunté
Sires de Matignon, comte de Torigni et de Gacé, barons de Saint-Lô, les Matignon accédèrent en 1731 au trône de Monaco à la suite du mariage de Jacques de Goÿon de Matignon (1689 - 1751) avec Louise-Hippolyte de Monaco (1697 - 1731), fille aînée et héritière d'Antoine II (1661 - 1731), prince souverain de Monaco.
Adieu, cher camarade, adieu,faut nous quitter
Faut quitter la bamboche à bord il faut aller !
En arrivant à bord, en montant la coupée,
A l'officier de quart il faudra se présenter
Faudra se présenter.
Coup de sifflet du Maître, poste d'appareillage !
Autour du cabestan se range l'équipage.
Un jeune quartier-maître, la garcette à la main,
Aux ordres d'un premier maître nous astique les reins,
Nous astique les reins.
Jours de fête et dimanches on nous fait travailler
Comm' les bêtes de somm' qui sont chez nos fermiers
Pour ration, des gourganes, des biscuits pleins de vers
Le quart de vin en bas et la nuit, les pieds aux fers,
La nuit, les pieds aux fers.
Et vous, jeunes fillettes qui avez des amants
Bourlinguant tout là-bas à bord des bâtiments,
Ah ! soyez-leur fidèles, gardez bien votre coeur
A ces marins modèles qui ont tant de malheur,
Qui ont tant de malheur.
Et si je me marie et que j'ai des enfants,
Je leur cass'rai un membre avant qu'ils ne soient grands
Je ferai mon possible pour leur gagner du pain
Le restant de ma vie pour qu'ils ne soient pas marins
Qu'ils ne soient pas marins !
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Le Grand Coureur
Le corsaire "le Grand Coureur", est un navire de malheur
Quand il s'en va en croisière pour aller chasser l'Anglais
Le vent, la mer et la guerre tournent contre le Français.
Refrain
Allons les gars, gai, gai
Allons les gars, gaiement !
Il est parti de Lorient, avec belle mer et bon vent
Il cinglait babord amure , naviguant comme un poisson
Un grain tombe sur sa mâture, v'là le corsaire en ponton.
Il nous fallut remâter, et bougrement relinguer
Tandis que l'ouvrage avance, on signale par tribord
Un navire d'apparence, à mantelets de sabords.
C'était un Anglais vraiment, à double rangée de dents
Un marchand de mort subite, mais le Français n'a pas peur
Au lieu de brasser en fuite, nous le rangeons à l'honneur.
Les boulets pleuvent sur nous, nous lui rendons coup pour coup,
Pendant que la barbe en fume à nos braves matelots
Dans un gros bouchon de brume, il nous échappe aussitôt.
Nos prises au bout de six mois ont pu se monter à trois,
Un navire plein de patates, plus qu'à moitié chaviré
Un deuxième de savates, et le dernier de fumier.
Pour nous refaire des combats, nous avions à nos repas
Des gourganes et du lard rance, du vinaigre au lieu du vin,
Du biscuit pourri d'avance et du camphre le matin.
Pour finir ce triste sort, nous venons périr au port
Dans cette affreuse misère quand chacun s'est vu perdu
Chacun selon sa manière s'est sauvé comme il a pu.
Le cap'taine et son second s'sont sauvés sur un canon
Le grand maître sur la grande ancre, le commis dans son bidon
Ah le sacré vilain cancre, le voleur de rations.
Il eut fallu voir le coq, et sa cuiserie et son croc
Il s'est mis dans la chaudière, comme un vilain pot-au-feu
Il est parti vent arrière, a péri au feu de Dieu .
De notre horrible malheur, seul le calfat est l'auteur
En tombant de la grand-hune, dessous le gaillard d'avant
A r'bondi dans la cambuse, a crevé le bâtiment.
Si l'histoire du Grand coureur a pu vous toucher le coeur
Ayez donc belles manières et payez-nous largement
Du vin, du rack, de la bière, et nous serons tous contents !
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Avant d'allumer la vidéo, éteindre la musique du blog dans le petit carré orange, sur la droite de la page.
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